Le Gagaku - musique japonaise
Le Gagaku est la musique japonaise traditionnelle : elle mélange la danse et le chant dont la musique est jouée sur des instruments importés du continent asiatique. Ce Gagaku a évolué avec le temps mais à son début, il servait surtout à égailler la vie des aristocrates.
Après la deuxième guerre mondiale, le Gagaku s'est "popularisé" et est apprécié du public. Cependant, il reste unique comme musique.
On distingue trois types de Gagaku :
- 1 - "Kuniburi-no-utamai" : Chants et danses qui remontent à l'origine du Gagaku. Le Kuniburi-no-utamai se joue pour des cérémonies.
- 2 - "Goryeo" chansons et danses importées du continent asiatique.
- 3- "Utamono" comme "Saibara" et "Rouei" sont des musiques importées fort appréciées par l'aristocratie.
Le Gagaku peut être exécuté de trois façons différentes :
"Kangen" est une exécution orchestrale de la musique, "Bugaku" est la danse, et "Kayo" le chant.
Les musiciens utilisent des instruments à vent tels que le "sho" et le "hichiriki", des instruments à corde tels que le "biwa", et des instruments de percussion tels que le "gakudaiko". Pour le "kangen", ils utilisent en plus le "kagurabue" (un genre de cannelure).
Le "sho" est l'insrument le plus populaire de par sa forme unique : il ressemble à une figure de chinois perchée pour se reposer, et la qualité de sa tonalité fait dire au poéte que c'est "une lumière coulant des cieux".
La tonalité du "hichiriki" est impressionnante de par sa puissance.
De nos jours, "Gagaku" n'est plus réservé aux événements occasionnel et est exécuté publiquement.
Après la deuxième guerre mondiale, le Gagaku s'est "popularisé" et est apprécié du public. Cependant, il reste unique comme musique.
On distingue trois types de Gagaku :
- 1 - "Kuniburi-no-utamai" : Chants et danses qui remontent à l'origine du Gagaku. Le Kuniburi-no-utamai se joue pour des cérémonies.
- 2 - "Goryeo" chansons et danses importées du continent asiatique.
- 3- "Utamono" comme "Saibara" et "Rouei" sont des musiques importées fort appréciées par l'aristocratie.
Le Gagaku peut être exécuté de trois façons différentes :
"Kangen" est une exécution orchestrale de la musique, "Bugaku" est la danse, et "Kayo" le chant.
Les musiciens utilisent des instruments à vent tels que le "sho" et le "hichiriki", des instruments à corde tels que le "biwa", et des instruments de percussion tels que le "gakudaiko". Pour le "kangen", ils utilisent en plus le "kagurabue" (un genre de cannelure).
Le "sho" est l'insrument le plus populaire de par sa forme unique : il ressemble à une figure de chinois perchée pour se reposer, et la qualité de sa tonalité fait dire au poéte que c'est "une lumière coulant des cieux".
La tonalité du "hichiriki" est impressionnante de par sa puissance.
De nos jours, "Gagaku" n'est plus réservé aux événements occasionnel et est exécuté publiquement.